Depuis le 1er janvier 2017, une nouvelle carte remplaçant les cartes d’invalidité, de priorité et de stationnement est disponible pour les personnes handicapées.

Les personnes handicapées auront droit à une nouvelle carte « mobilité-inclusion » destinée à remplacer les cartes d’invalidité, de priorité et de stationnement. Le décret introduisant cette disposition est paru mardi 27 décembre au Journal officiel. Il répond à un « engagement pris par le Président de la République lors de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014 », précise le ministère de la Santé dans un communiqué. Il « s’inscrit dans le cadre de la loi pour une République numérique ».

Au format carte de crédit, la nouvelle carte est deux fois moins grande que les cartes actuelles, en papier. Elle est présentée comme « sécurisée et infalsifiable ». Fabriquée en 48 heures par l’Imprimerie nationale, qui assure déjà la fabrication des cartes d’identité, elle sera « expédiée directement au domicile des personnes ». Un flashcode permettant de vérifier la validité de la carte devrait mettre fin aux fraudes diverses : fausses cartes ou utilisation de la carte par un tiers.

Concrètement, la carte mobilité-inclusion peut comprendre une ou plusieurs des mentions suivantes : invalidité, priorité et stationnement. La mention invalidité est attribuée aux personnes ayant un taux d’incapacité d’au moins 80 % ou à celles bénéficiant d’une pension d’invalidité classée 3^e catégorie. La mention priorité est attribuée aux personnes ayant un taux d’invalidité inférieur à 80 % pour lesquelles la station debout est pénible. Ces deux mentions permettent d’obtenir un accès prioritaire aux places assises dans les transports en commun, les salles d’attente, les établissements publics, la priorité dans les files d’attente ainsi que des réductions tarifaires.

La mention stationnement concerne les personnes atteintes d’un handicap réduisant sensiblement leur capacité de déplacement à pied. Elle permet d’utiliser les places de stationnement ouvertes au public. Lorsqu’une personne est détentrice à la fois de la carte de stationnement et de la carte d’invalidité ou de priorité, « deux cartes lui seront fournies : l’une pourra rester sur le pare-brise de la voiture, et l’autre pourra être emportée par son détenteur ».

La fin de la fabrication des cartes au format papier par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) permettra à celles-ci de « se concentrer sur leurs missions principales : l’accueil des personnes et des familles, l’information et l’orientation », souligne Ségolène Neuville, la secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion sociale.

Les cartes actuelles peuvent encore être utilisées jusqu’en 2025 mais elles vont progressivement être remplacées par la carte mobilité-inclusion. « Plus simple et plus moderne », elle facilitera la vie quotidienne des personnes en situation de handicap.

Source : http://www.dossierfamilial.com

La marque propose une collection en ligne spécialement adaptée aux enfants et adolescents en situation de handicap. Et envisagerait de les vendre en magasin.

Les vêtements sont conçus pour faciliter l'habillage et l'autonomie. La collection, en ligne depuis le 26 janvier, propose seulement cinq pièces pour le moment: un tee-shirt disponible dans deux formes, un pantalon, une cape, une robe et une tunique. Les pantalons, par exemple, sont plus confortables, avec une ceinture à élastique qui ne comprime pas la taille et des ouvertures spéciales pour enfiler facilement des attelles. Autre produit phare, la cape manteau coupe-vent noire, sera bientôt disponible dans une plus grande variété de couleur. «Nous avons un objectif à long terme. Nous voulons des produits permanents de référence et des produits qui suivent les tendances», précise Mathilde Dewambez.

Pour l'instant, les vêtements ne sont disponibles que sur le site internet de Kiabi, en France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et en Espagne. Mais Kiabi voudrait proposer cette ligne dans ses magasins.

Pour consulter ces produits, cliquez sur le lien suivant : http://www.kiabi.com/kiabi-x-les-loups-bleus-enfant-fille_295338

L'équipe Pimas vous adresse ses meilleurs voeux pour cette nouvelle année ! 

Nous vous remercions tout particulièrement pour la confiance que vous accordez à nos produits et notre équipe au quotidien!

Que 2017 soit tout aussi (voire plus) belle que ne l'a été l'année 2016.

Merci à tous !!!

Notre agent le Garage de la Lande à Vierzon (18) s'implique depuis plus de 2 décennies en faveur d'une plus grande autonomie des personnes en situation de handicap.

Le 3 Décembre 2016, à Vierzon, vous pourrez défier vos propres habitudes de conduite, en vous mettant au volant d'un véhicule adapté pour hémiplégie, paraplégie, etc..., (3 véhicules au choix) en toute sécurité, avec un moniteur (STOP AUTO-ECOLE DE VIERZON et  PIMAS), sur un circuit spécialement dessiné par la Société AXITECH de Poissieux (18) au sein du Parc des Expositions , privatisé pour l'occasion. Vous pourrez ainsi "toucher du doigt" toute l'adaptabilité dont font preuve les conducteurs handicapés pour atteindre l'autonomie ! Une urne vous permettra sur-place de faire "gonfler l'enveloppe" en faisant un don.

Deux  départs possibles : le matin de 8h à 12h depuis le Village Téléthon, place du Marché,  ou jusqu'à 17h directement sur le site, salle Madeleine Sologne.

Montrez votre solidarité en faisant un don sur le lien suivant : https://soutenir.afm-telethon.fr/partager/conduire-avec-un-handicap

Pour les chercheurs, pour les malades, chaque geste compte ! Merci à vous !

Atteint de tétraplégie depuis plus de dix ans, l’américain Nathan Copeland a pu retrouver le toucher via un bras robotisé. Relié à la zone de son cerveau contrôlant les sensations, ce bras les lui a faites ressentir comme si elles provenaient de l’extrémité de ses doigts.

Un pas supplémentaire vient d’être franchi sur la route des interfaces homme-machine, en particulier pour pallier la tétraplégie. En effet, Nathan Copeland, tétraplégique depuis un accident de la circulation en 2004, a pu de nouveau ressentir le toucher comme si sa main en était à l’origine. Cet exploit a été rendu possible grâce à l’emploi d’un bras robotisé, et non d’une prothèse puisque le patient a tous ses membres même paralysés, relié à une puce implantée dans une partie de son cerveau contrôlant les sensations.

L’expérience, troublante, est à découvrir dans la vidéo ci-dessous. Un scientifique du laboratoire de physique appliquée de l’Université Johns Hopkins demande à Nathan, les yeux bandés, quel doigt du robot il touche. Soit en version originale, index, ring (annulaire), middle (majeur) ou pinkie(auriculaire) ; le pouce n’étant pas utilisé.

Ce n’est pas la première fois que la sensation de toucher est retransmise à une personne. Mais jusqu’à maintenant cela avait été rendu possible que chez un patient amputé, donc équipé d’une neuroprothèse de main ou de bras. L’expérience révélée ici, dont le détail des résultats est publié dans la revue anglo-saxonne Science Translational Medicine, marque une nouvelle étape. Cette approche pourrait en effet aider à transmettre des informations sur le point de contact ou la pression nécessaire pour manipuler des objets à travers une prothèse comme un bras sensoriel. 

Source : faire-face.fr

Depuis la pose de sa trachéotomie en 2012, Damien Perrier, 42 ans, est aphone. Atteint de la maladie de Charcot ou SLA (Sclérose latérale amyotrophique), qui se caractérise par une dégénérescence progressive des neurones moteurs, il est en soins palliatifs à l'hôpital de Chambéry (Savoie) et communique uniquement avec les yeux. Anciennement docteur en physique, Damien expérimente une interface cerveau-machine, mise au point par Maureen Clerc, directrice de recherche à l'Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique), et par Nathanaël Foy, ingénieur à l'Inria.

Prototypées par différents laboratoires, les interfaces cerveau-machine sont exploitées, de plus en plus, par les personnes tétraplégiques. Plusieurs démonstrations ont notamment eu lieu à l'occasion du 1^er Cybathlon de Zurich, en octobre 2016 (lire article en lien ci-dessous). Pour Damien, ce projet expérimental démarre lorsqu'il rencontre, en 2014, trois ingénieurs, membres de l'Union départementale des ingénieurs et scientifiques des deux Savoie (UDISS). Entouré par la suite de présidents d'association, il dispose du logiciel adapté en 2015, qu'il commence à exploiter en janvier 2016.

Comment fonctionne la machine? Les électrodes d'un casque électroencéphalographe enregistre l'activité cérébrale de l'utilisateur. La technique n'est pas invasive puisque les électrodes sont placées à la surface du crâne. Un logiciel baptisé OpenVIBE est chargé d'analyser ces pics de tension et de les traduire sur un clavier virtuel.

L'interface est toujours en phase expérimentale mais l'objectif de Damien et de son équipe reste sa commercialisation. Ses paramètres sont améliorés à vitesse grand V : « La semaine dernière, nous épelions à la vitesse de 43 secondes par lettre. Cette semaine, nous passons à 16 secondes par lettre. Cette machine est de plus en plus facile à utiliser », estime Damien. Mais, malgré cette avancée prometteuse, d'autres réglages, qui nécessitent plus de temps, restent à configurer. Pour le moment, la machine ne peut pas remplacer le système de poursuite oculaire, utilisé plus fréquemment par les personnes atteintes de SLA.

Avant d'être diagnostiqué en 2009, Damien ne pensait pas écrire. C'est lorsqu'il est en réanimation à l'hôpital de Lyon qu'il envisage l'ébauche d'un livre autobiographique. Des idées de chapitre émergent, simplement stockées dans sa mémoire. « Je voulais léguer un livre-témoignage à ma fille, qu'elle lirait plus tard lorsqu'elle serait suffisamment grande pour mieux comprendre, raconte-t-il. Je ne voulais surtout pas lui laisser l'image d'un père affaibli par la maladie, qui ne s'était pas battu pour vivre ». Dans cet ouvrage, il parle de sa vie étudiante trépidante, de sa rencontre avec sa future épouse, de la naissance très compliquée de leur fille, prématurée. Et, surtout, de son vécu avec la maladie. En soins palliatifs, une rencontre avec Annie Joly, une bénévole qui lui rend visite et possède une maison d'édition, donne vie à son projet. En 2014, Annie publie « Entre un regard et un sourire » (éditions Marguerite Papillon), dans lequel elle ajoute ses interrogations et son regard sur la maladie. « Depuis sa publication, j'ai écrit des nouvelles de science-fiction, confie Damien. J'ai participé à des concours de nouvelles. Et, en ce moment, je termine la rédaction d'un livre en solo ».

Source : handicap.fr

Notre agent NONTRON ADAPTATION basé à Nontron (24) participe au salon du Handicap et du Grand Age les 28 et 29 octobre 2016 au Parc des Expositions de Périgueux.

Nous vous attendons sur le stand pour découvrir de nombreux aménagements pour la conduite des PMR, l'aide au transfert et au chargement du fauteuil roulant.

Vous pouvez dès à présent prendre contact avec NONTRON ADAPTATION au 05 53 56 26 57 ou consulter sa page Facebook https://www.facebook.com/Nontron-Adaptation-422640127827020/?fref=ts

Entrée gratuite et pour tous !

Autoconciergerie.fr est un service de conciergerie spécialisé dans l’automobile qui s’occupe de prendre rendez-vous à votre place chez un prestataire et de conduire votre véhicule chez celui-ci.

Du contrôle technique obligatoire à la révision en passant par le rapatriement, la livraison, la sortie de fourrière ou tout autre besoin, Autoconciergerie.fr peut vous venir en aide et vous faire gagner du temps pour tout convoyage au départ ou à destination de Lyon, et ce, dans toute la France !

Ce concept très répandu aux Etats-Unis assiste tous les propriétaires d’automobiles n’ayant pas le temps de s’occuper de celle-ci. Il permet d’éviter de perdre de longues heures en attente inutile et de les consacrer à son travail, à sa famille ou à des loisirs.

Tous les véhicules pris en charge sont ASSURES TOUS RISQUES

Pour plus de renseignements, consultez le site internet : http://www.autoconciergerie.fr/ ou sur Instagram : www.instagram.com/autoconciergerie.fr/

Pour toute prise de rdv, n'hésitez pas à appeler au 07-76-69-78-61.

Venez découvrir le vol à voile (planeur), vous former en tant que pilote autonome pour aller jusqu’au brevet du 15 au 23 octobre 2016 à l’Aérodrome du Versoud (38) en partenariat avec les clubs de vol à voile de Cessieux, Bourg-en-Bresse, Barcelonnette et Handi Sports Isère.

Plusieurs planeurs adaptés seront disponibles pour faire découvrir le vol à voile aux personnes à mobilité réduite. Tout sera mis en place pour vous simplifier l’approche (WC, stationnement des véhicules en seuil de piste, fauteuils électriques, adresses d'hébergements adaptés...).

Accès à toute personne souffrant d'un handicap moteur et ayant envie de s'initier au vol en planeur. Nous vous offrons par la suite l'opportunité de vous former pour devenir un/une pilote autonome et breveté(e). 

Plus d’informations : http://fauteuilair.wixsite.com/ufdla

Notre agent HANDI ADAPT à Joué-les-Tours (37) va participer au salon de l'Auto de Tours du 21 au 24 octobre 2016.

Rendez-vous sur le stand pour découvrir de nombreux aménagements pour la conduite des PMR, l'aide au transfert et au chargement du fauteuil roulant, et d'autres services proposés en complément (décaissement, pose de taximètres ...)

Le stand se situera dans le Grand Hall !

Vous pouvez dès à présent prendre contact avec HANDI ADAPT ou consulter son site internet http://www.handi-adapt.fr/ .

Vous êtes attendus nombreux sur le stand ! 

Entrée : 5 euros

Mêler handicap et comédie musicale, et faire d'un sujet que la plupart ne veut pas voir un divertissement, le pari était osé ! Alex Goude l'a relevé. Timéo, c'est le nom de cette circomédie familiale. L'histoire d'un jeune en fauteuil roulant bien décidé à aller au bout de son rêve, devenir acrobate. Lorsqu'il apprend que le cirque Diabolo est en ville, Timéo prend son courage à deux mains et tente de s'inviter aux répétitions. Peut-être réalisera t-il son rêve au milieu des artistes fascinants qui l'entourent dans cette aventure ?

 Ce projet un peu fou, Alex Goude le porte depuis quatre ans. Son envie de projeter sur le devant de la scène une thématique d'ordinaire « pas facile » n'a d'égal que son enthousiasme. Manifestement, il y croit et donne l'envie d'y croire avec lui ! Mais peut-être est-il trop précurseur car Timéo, à l'affiche du Casino de Paris (16 rue de Clichy - 75009 Paris) depuis le 16 septembre 2016, ne rencontre pas le succès escompté. Comment rivaliser avec d'autres comédies musicales qui se nourrissent de la romance légendaire de Roméo et Juliette, de l'éclat de Mozart Opéra Rock ou de la bravoure deRobin des Bois ? L'amour, la musique, voilà des sujets « populaires » ; peut-on en dire autant du handicap ?

Timéo propose pourtant une version positive et décomplexée de la différence avec, pour principal message, l'idée que tous les défis peuvent être relevés, même celui, pour un jeune garçon handicapé, de devenir circassien. Alors certes, quelques « maladresses » et bons sentiments peuvent interpeler ceux qui vivent le handicap au quotidien. Non, tout n'est pas si simple dans la vraie vie ! Mais Timéo est une fiction ludique dont le message doit rester « recevable » par le grand public. Même si ce n'était peut-être pas l'intention initiale du metteur en scène, qui souhaitait manifestement interpeller toutes générations confondues, c'est avant tout une comédie familiale qui peut faire le bonheur des plus jeunes. Les effets visuels sont riches, colorés et les personnages attachants. Acrobaties aériennes, au sol, funambules, trapézistes et contorsions, skates et BMX, jeux de lumières… Deux heures qui vous mettent le baume au cœur. Et si, en prime, ce spectacle permet de briser des clichés tenaces sur le handicap, le pari est réussi. Pour être un peu plus nombreux à scander le credo de Timéo : « Etre différent, c'est normal ! ».

Source : handicap.fr

La cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques s'est déroulée le mercredi 7 septembre 2016 à Rio, dans un stade Maracana archi-comble et en liesse.

Le public a pu observer le traditionnel défilé des 161 nations, regroupant au total 4300 sportifs. Parmi les délégations, il y a eu celle formant la première équipe de réfugiés handicapés de l’histoire. Du côté français, ils étaient 126 athlètes.

 Entre danseurs en fauteuils roulants, ballons géants et protestations politiques, Rio a donc donné le coup d’envoi des quinzièmes Jeux Paralympiques, les premiers ayant lieu en Amérique Latine. La cérémonie a débuté par le saut acrobatique vertigineux de l'athlète américain, Aaron "Wheelz" Fotheringham, qui s'est élancé en fauteuil roulant d'une rampe-tremplin de 17 mètres, à la façon d'un sauteur en ski, sous les hourras du public. Une soirée qui a fait la part belle à la vie et aux traditions du pays hôte au rythme de la bossa nova et de la samba, avant que João Carlos Martins n’entame l’hymne Brésilien au piano devant un tifo représentant le drapeau du pays.

Les Jeux paralympiques se termineront le 19 septembre, et espérons qu’ils soient aussi fructueux en termes de médailles pour la délégation française que les Jeux Olympiques qui se sont terminés il y a quelques semaines.

De retour sous les couleurs Duqueine Engineering, Nelson Panciatici s’est illustré en signant le premier podium de l’équipe en RS 01 Trophy avec une 3ème place lors de course Pro sur le circuit Paul Ricard. Il aurait pu espérer faire coup double lors de la course Endurance avec Gilles Duqueine, sévèrement pénalisé lors de la course Prestige, mais des ennuis mécaniques en ont décidé autrement.

Nous tenons à féliciter Gilles Duqueine et son équipe, pilotes et techniciens, et lui souhaitons d'autres podiums et victoires pour le reste de la saison.

Le magazine Vogue Brésil est en crise. Et pour cause : le monde entier lui reproche sa campagne autour des Jeux Paralympiques qui se tiendront à Rio de Janeiro entre le 7 et le 18 septembre. Plutôt que de faire appel à de vrais athlètes, la publication a préféré retoucher des mannequins et les amputer via Photoshop.

Vogue justifie sa démarche sur Instragram en expliquant que ces deux acteurs locaux, Cleo Pires et Paulo Vilhena, « ambassadeurs » du Comité paralympique brésilien, sont censés représenter la pongiste Bruna Alexandre, amputée du bras à l'âge de trois ans, et le volleyeur assis Renato Leite portant une prothèse de jambe même si aucun des deux n'apparait jamais au fil des pages. Ce coup de com, qui avait pour objectif de booster les ventes de billets (seulement 300 000 vendus sur 2,5 millions), a pris une tournure inattendue, pour le moins ratée !

Les principaux intéressés ont rapidement répondu à la polémique, partageant la photo controversée sur les réseaux sociaux, l’agrémentant de messages positifs. Renato Leite conseille, d’acheter le magazine et Bruna Alexandre écrit : “Je suis très fière de faire partie de ce cette campagne“. Les deux mannequins ont eux aussi tenu à soutenir Vogue en publiant sur leur page Instagram les photos des athlètes ayant servi à les photoshopper. “Je me sens honoré de représenter Bruninha dans cette campagne”, affirme Cléo Pires. De son côté, Paulo Vilhena emploie le mot “héros” pour désigner les athlètes paralympiques.